Je n’ai aucune raison d’arrêter
« Je ne suis pas une as de l’ordinateur mais j’essaie de faire le mieux possible en l’absence de mes petits-enfants (c’est avec eux que j’apprends). J’ai trouvé votre article et votre témoignage vraiment formidable.
J’ai commencé ainsi le mardi soir, début mars, à ne plus souper, en pensant à un enfant qui n’a pas mangé.
Je ne peux vous donner une date de fin, car si ça va bien, je n’ai aucune raison d’arrêter.»
M. T. V. à S.